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JOANNIE BOVY DEFAYS "standard de liège "

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taktikteknike

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Bienvenue à tous sur mon Blog

Le Standard de Liège :
Cela fait maintenant de nombreuses années que je suis passionnée par le ballon rond. Cette passion, c'est mon grand-père maternel qui me l'a transmise. N'étant plus parmi nous, c'est en quelque sorte une façon de lui rendre hommage. A l'époque, il s'occupait du petit club de football de sa région et supportait le RFC Liège. Moi, j'ai opté pour l'autre club liégeois : le Standard de Liège. Depuis que j'ai posé un orteil dans le chaudron de Sclessin, la passion ne me quitte plus. Matin, midi et soir, je ne peux m'empêcher d'en parler. Même si cela demande du temps et un investissement financier, la magie du Standard balaye cela en une fraction de secondes. Le Standard est un rituel. Tous les week-ends, parée de mon appareil photo, je me rends au temple pour partager ma passion. Assise à ma place, j'attends impatiemment que le speaker fasse augmenter la température, puis lance la composition de l'équipe reprise en ch½ur par les supporters. Durant les 90 minutes de jeu, l'euphorie empare le public qui joue, à merveille, son rôle de 12e homme pour pousser ses couleurs vers la victoire. Lorsque j'entends retentir le « Aux armes », l'enfer tant redouté par les équipes adverses se transforme en paradis sur terre. Et à quelques minutes du terme, debout, je suis prête à applaudir les joueurs quel que soit l'issue de la rencontre. La réjouissance d'être au stade se transforme alors en amertume, car déjà l'envie d'assister au prochain match se manifeste.

La photographie :
Ma seconde passion, la photographie, complète parfaitement la première. Immortaliser les actions footballistiques ou les petites joies de la vie représentent plus qu'un simple hobby. Cela me permet de partager et de communiquer avec autrui, car je suis de nature plutôt timide. Cependant, mes débuts ne furent pas un long fleuve tranquille. Beaucoup m'ont découragé, me poussant à renoncer à ma passion. Face aux préjugés, j'ai prouvé qu'il ne suffisait pas d'avoir une excellente vue pour prendre des clichés hors du commun. Défi réussi ! Aujourd'hui, j'ai gagné de l'assurance. La photographie m'a permis de faire des rencontres inoubliables, mais aussi de m'ouvrir à quiconque sans complexe. De jour en jour, je me surpasse et savoure l'instant présent. Apercevoir un sourire sur les visages face à mes photos me rend heureuse. Grâce à cette passion, j'ai l'impression de surmonter mon handicap qui l'espace de quelques secondes, quelques minutes ou quelques heures n'en est plus un.

Photographe :
Zone-rouche.be
Rsclfans.be
Standard-liege.be
Allezlesrouches.com

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joannierouche@hotmail.fr

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Kiskaç signe au Standard!! Marcelo au standard ??

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Dembele, restera-t-il?

Le premier match de championnat du Standard aura lieu le samedi 16 août à Dender (20h). Le deuxième, le samedi 23 contre Westerlo à 18 heures. Pour ce match, la billetterie est ouverte dès ce vendredi à 9 heures.

Thomas Phibel pourrait signer un nouveau contrat et être directement prêté à un club de D1 pour acquérir du temps de jeu.

Selon La Dernière Heure, Sébastien Bassong (Metz), pisté par le Standard, aurait déclaré que ses principaux contacts le mènent en Angleterre ou en Allemagne. Dans ce même journal on peut lire que le président du TP Mazembe veut garder Trésor Mputu au moins jusqu'en décembre.

“Je suis un pro, donc à l'écoute”
(GDS - Y.Bouchard) Siramana, c'est l'homme au micro des festivités du titre mais surtout, l'homme de la saison selon ses propres équipiers. Un leader naturel même s'il ne fut pas un cadre sportif de la saison écoulée. Le Standard va-t-il le perdre dans les jours ou semaines qui viennent? Une éventualité. On le sait, le médian français est dans le collimateur de Panthrakikos, ce club grec coaché par Emilio Ferrera qui vient de monter en D1 et où évoluera aussi Roberto Bisconti. “Pour l'instant, cette piste est en stand-by.”, avoue-t-il. “Les Grecs me proposent un contrat de deux ans. Sportivement et financièrement, voilà un challenge intéressant. Il faut voir maintenant l'aspect familial. J'y réfléchis. Avec la direction du Standard en tout cas, cela se passe vraiment correctement. Nous verrons bien. Je ne me sens pas nécessairement et absolument en partance. Je suis un “pro” donc, je suis à l'écoute des propositions qui me sont faites."

Mais ne lui parlez pas de la concurrence qui pourrait devenir un paramètre décisif dans sa réflexion. “Nous entamons une nouvelle saison avec un nouvel entraîneur. Je suis un battant, je n'abdique jamais. Jemesens, c'est vrai, dans la même situation qu'au début du défunt championnat. Et alors? Vous savez,commetous, j'ai vécu des moments magiques et inoubliables avec ce titre. Liège, c'est devenu ma ville aussi. Si je partais, je sais que j'y reviendrai un jour.' On évoque même déjà un rôle chez les jeunes de retour de son périple grec s'il l'entreprend. “En tout cas, je demande seulement une chose aux gens et à la presse: ne comparez pas ce Standard avec celui de Michel Preud'homme. Laissez le temps à ce groupe et à M. Bölöni de faire son travail. Il suffit de regarder son parcours pour avoir confiance. Il y a des différences, inéluctablement. Mais attendons les verdicts avant de juger. C'est certain, il va poursuivre dans notre voie. La culture de la victoire est en nous et il ne souhaite qu'une chose: la poursuivre. Depuis la reprise, on s'apprivoise tous les uns les autres. Petit à petit. Nous apprenons à nous connaître. Il nous demandera beaucoup d'implication dans le travail. Que je reste ou pas, c'est tant mieux pour le Standard."

Qu'il demeure à Sclessin ou qu'il vogue vers d'autres cieux, Siramana Dembéle restera à jamais attaché à la Cité Ardente. La preuve? “En dehors du foot, qui est évidemment ma profession, je me suis lancé dans une affaire au centre-ville en faisant l'acquisition de la taverne “La Cafétaria” (NDLR:l'ancien propriétaire n'était autre que le regretté Matt Van Toorn). Avec un ami, mon nouvel associé. Si cela se trouve, je vous servirai peutêtre un jour un boulets-frites. C'est clair, Liège tient une place importante dans mon coeur. En plus, ma petite Jade qui a fêté avant-hier ses 5 mois est née l'année du titre et sur sa carte figure le nom de la ville. C'est symbolique et j'y tiens."


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Un autre Rouche à Tubize ?

Après avoir enrôlé le milieu offensif du Standard, Vitorio Villano, l'AFC Tubize pourrait enregistrer l'arrivée d'un autre élément en provenance du champion de Belgique. A l'occasion de la rencontre amicale contre Soignies, Tubize mettait à l'essai un jeune back gauche de 18ans répondant au nom de Dimitri Parker. Il fait actuellement partie du noyau U19 des Rouches et sera à nouveau testé samedi.

L'exemple de Landry Mulemo pourrait donc faire des émules. Prêté à 17ans à Saint-Trond, le back gauche (!) était finalement resté trois saisons au Staaienveld avant de revenir par la grande porte à Sclessin où il a régulièrement fait partie de l'équipe vainqueur du dernier championnat.


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Jovanovic : « Si je ne trouve pas un nouveau club, j�arrête

L�attaquant serbe du Standard de Liège, Milan Jovanovic, souhaiterait quitter les bords de Meuse durant ce mercato estival. Mais aucun club ne semble vouloir s�attacher les services du joueur malgré une bonne saison lors du défunt championnat (16 buts).

La rupture entre Milan Jovanovic et le Standard de Liège semble profonde puisque l�attaquant des Rouches a déclaré dans le Footmagzine qu�il ne voulait plus évoluer à Sclessin : « Je ne peux plus rien apprendre au Standard. J�ai tout donné la saison précédente et j�ai besoin d�un nouveau défi. Si je ne trouve pas un nouveau club, j�arrête le football »

Il est vrai que Milan Jovanovic a inscrit 16 buts lors de cette saison mais est-ce vraiment beaucoup ? Lorsque l�on sait que tout le monde considère que la compétition belge est en déclin et que le niveau ne cesse de régresser selon certaines observateurs�


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Leur père a éliminé le Milan AC

Les frères Da Silva se donnent un an pour percer à Sclessin et un autre pour s'imposer

BOIS-ST-JEAN Avant de transférer Wilfried Dalmat et Benjamin Nicaise, puis le Turc Kiskaç (qui arrivera dans une grosse semaine), le Standard avait déjà jeté son dévolu sur deux jeunes joueurs d'origine brésilienne, les frères Jansen Da Silva, Alexandre et Alandson. Pas de noms ronflants mais des paris qui ont signé pour deux ans (et deux autres en option).

Beaucoup n'avaient jamais entendu parler de ces deux joueurs qui évoluaient au Club Bruges. Normal, ils évoluaient essentiellement avec les Espoirs brugeois. "Je ne m'attendais pas à détrôner Priske, qui est quand même international, mais j'avoue que lorsque j'ai joué contre Lokeren (NdlR : voir ci-dessous), je m'attendais à apparaître à l'une ou l'autre reprise dans l'effectif" , confie Alexandre dans un bon français qui facilitera son intégration.

Leur paternel est lui davantage connu dans le milieu. Il s'agit de Sergio Batista Da Silva qui faisait partie de l'équipe de Waregem qui élimina le Milan AC de la Coupe Uefa 85-86. C'est d'ailleurs à Waregem que sont nés Alexandre et Alandson (un troisième frère, de 13 ans, suit). Leur apprentissage footballistique commença d'ailleurs au KSV local avant de se développer à Harelbeke, de nouveau à Zulte-Waregem puis au Club. Toujours à deux... "Notre père continue de nous guider. Il connaît le foot et ses conseils sont donc avisés. Il n'est pas trop critique. Il est simplement correct dans ses jugements , expliquent-ils. Pourquoi avons-nous opté pour le Standard ? Parce que c'est le club champion et qu'il accorde beaucoup d'importance aux jeunes. Malgré l'intérêt d'autres équipes, nous n'avons pas hésité et les premières impressions nous confortent. Tout est nouveau. Les vestiaires, les infrastructures. C'est superbe. Nous allons travailler fort pour réussir ici. Cette année, nous espérons avoir l'occasion de faire l'une ou l'autre apparition. Et dans un an, nous tenterons de nous imposer."

S'ils connaissaient déjà Dufer de Bruges et les Brésiliens par diverses rencontres au hasard des cheminements d'un footballeur, les frères Da Silva ont apprécié l'accueil reçu. "Goreux, Defour et les autres jeunes nous ont d'emblée adoptés." Ils ont récupéré l'appartement laissé libre par Marcos, qui s'est installé dans celui de Fred. "Je me réjouis d'apprendre de Sarr, Onyewu et Dante", ajoute Alex. "J'admire Mbokani", précise Alan.


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Le rôle d'un adjoint

Bien plus qu'un simple adjoint
(GDS - M.Franken) Le cap des sept ans de mariage est toujours une étape décisive dans une relation. Cette année, Laszlo Bölöni et Joaquim Preto franchiront cette étape, avec l'objectif de maintenir le Standard au sommet. En espérant, pour les supporters liégeois, que cette relation ne se clôture pas en divorce...

Le soleil était de la partie, hier matin, à l'Académie. Pourtant, les joueurs n'ont paspu profiter de cette chaleur estivale. Le staff avait prévu une séance d'exercices physiques dans la salle de musculation du complexe. Une manière idéale de se jauger avant d'entamer les séances tactiques prévues dans les jours à venir. “C'est la période la plus importante d'une préparation.”, explique Joaquim Preto, le successeur de Manu Ferrera. “L'ensemble du staff technique apprendra, via ces séances, les caractéristiques de chaque joueur.” À peine débarqué dans la Cité ardente, Joaquim Preto se fond dans le moule. Souriant, il ne se plaint de n'être “que” l'adjoint deLaszlo Bölöni. “Certes, si dans les années à venir une proposition intéressante me parvient, je l'étudierai attentivement. Mais, vous savez, je n'ai aucune gêne à être un second entraîneur. Ce n'est pas de cette façon que je conçois les choses. Nous sommes une équipe, et chaque membre apporte ses qualités au service d'une cause commune: le Standard. Les adjoints permettent d'augmenter la valeur d'un club, cela requiert beaucoup d'exigence.”

Il n'éprouve aucune peine à reconnaître qu'il est encore en reconnaissance. La Belgique, il ne la connaît pas encore très bien. “En 2001, je suis venu disputer une joute amicale avec le Sporting Lisbonne, où figuraient Marius Niculae et Ricardo Sa Pinto, ici à Liège. Mais je n'avais pas eu le temps de visiter la ville. À peine le match terminé, nous avions repris l'avion. Le championnat belge m'est autant familier. Mes connaissances se limitent aux formations de pointe.” Ne vous méprenez pas: Joaquim Preto travaille pour rattraper son retard. Il a, ainsi, commencé à regarder quelques cassettes de l'année dernière. “Et notamment le match nul signé à Anderlecht.”

Ses qualités ne sont plus à démontrer. Il a déjà fait ses preuves partout où il est passé. Un succès qui est à mettre en parallèle aux études qu'il a poursuivi, malgré sa carrière de joueur. “J'ai, en effet, étudié à la Faculté de motricité humaine, à Lisbonne. Après trois années de préparation pédagogique générale, j'ai opté pour une spécialisation en football. Ce qui m'est d'un grand apport aujourd'hui.” Et Laszlo Bölöni ne s'est pas mépris sur ses qualités. Depuis sept ans, ils parcourent une partie du monde ensemble. “Ma rencontre avec Lazlo s'est faite naturellement lors de son passage au Sporting. Il y a une bonne dynamique entre nous deux, même si nous ne sommes pas toujours sur la même longueur d'onde. Mais la différence permet l'évolution,
vous savez (il sourit)."

Voici son parcours avec Laszlo Bölöni:

Sporting Portugal
Joaquim Preto est trop modeste pour reconnaître qu'il n'est pas étranger au développement de Cristiano Ronaldo. “Je l'ai vu jouer lorsqu'il n'avait que 12 ans sur l'île de Madère et il m'avait déjà fait forte impression. C'est un garçon passionné, qui n'hésite pas à prolonger les séances d'entraînement pour perfectionner ses éventuels défauts.”

AS Rennes
Prochaine étape pour le duo Bölöni-Preto, la Bretagne et Rennes. Une expérience couronnée de succès. “Nous avons qualifié le club pour la coupe UEFA. Le club est également réputé pour la qualité de sa formation. Nous avons eu l'opportunité de lancer Yoann Gourcuff qui est actuellement prêté par l'AC Milan à Bordeaux. Un seul bémol: la météo (il sourit)."

AS Monaco
La mayonnaise n'a jamais pris avec le club principautaire. Après cinq mois, la date de péremption avait déjà été atteinte. “Pourtant, je ne considère pas cette aventure comme une mauvaise expérience. Le staff technique n'était pas l'unique coupable du manque de résultats. D'ailleurs, des problèmes constatés lorsdenotre passage sont toujours d'actualité."

Al Jazira
Quoi de mieux pour se revigorer que de s'octroyer un passage dans les Émirats Arabes Unis? “Le football là-bas n'est pas entièrement professionnel. Mais quel pays! J'ai aperçu des stars comme Madonna ou Ronaldinho. Incroyable! Je vous conseille de vous y rendre, le prix de l'avion n'est pas exorbitant. Et l'essence ne coûte que 30 cent (il rit)."


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L�armée veut enrôler Milan Jovanovic

L�attaquant serbe du Standard de Liège est actuellement en vacances dans son pays avant de reprendre les entraînements à Sclessin. Mais celui-ci a semble-t-il quelques problèmes au niveau administratif et en particulier avec l�armée.

L�armée veut que Milan Jovanovic, qui est né en Bosnie mais réside en Serbie, incorpore le régiment serbe. Le joueur est cependant parvenu à démontrer qu�il était sous contrat avec le Standard de Liège. Le problème devrait donc être résolu et l�attaquant devrait pouvoir revenir à Sclessin pour reprendre les entraînements avec le reste du groupe


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Joaquim Preto, T2 globe-trotter

Rarement la potentielle venue d'un entraîneur adjoint aura été aussi longue et médiatisée. Pourtant, sous nos latitudes, le nom de Joaquim Preto n'est pas le plus célèbre. Dès le premier abord, on sent cet homme nourri de multiples expériences et d'un vécu aux quatre coins de notre planète.

"Depuis 2001, je fais route commune avec Laszlo Bölöni. Tant au Sporting Lisbonne (champion en 2002) qu'à Rennes, à Monaco et à Al Jazira. Ensemble, nous développons une bonne dynamique professionnelle."

Puisse-t-elle, songent les fans rouches , se poursuivre lors de l'exercice à venir. Mais avant sa collaboration avec le coach roumain, Joaquim (48 ans) a aussi oeuvré comme joueur. "Ma formation s'est réalisée au Sporting Lisbonne. Ensuite, j'ai fait route commune, à Torrense (D2) avec Jesualdo Ferreira, l'actuel entraîneur de Porto. Ma carrière s'est poursuivie à l'Academica Coimbra (cinq ans) avant de se conclure au Nacional Madeira comme joueur et entraîneur. J'ai par ailleurs croisé Lucien D'Onofrio quand il était joueur à Portimao. D'autres éléments bien connus chez vous aussi d'ailleurs : Norton De Matos, Roberto Sciascia et le regretté Serge Cadorin."

Sa carrière sur le banc, il la débutait aux côtés de Carlos Queiroz.

"C'était de 1998 à 2000 aux Émirats arabes unis. Après un passage par la D2 portugaise, il y a eu cette rencontre avec Laszlo Bölöni."

Sept ans plus tard, le couple fonctionne toujours. Fin de semaine dernière, le nouvel adjoint a visité le centre de formation.

"J'en ai déjà vu beaucoup (Sporting, Benfica, Porto, Al Jazira...) mais celui du Standard est plus moderne car il est très récent. Mais, surtout, il est plus fonctionnel, principalement dans l'espace pro où tout est regroupé et très proche. Celui du Sporting Lisbonne est plus grand mais moins fonctionnel." Bel éloge d'un homme attaché au grand club lisboète. "Vous savez, en football, le coeur ne peut appartenir qu'à un seul club."


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Dalmat : "un investissement"

“Je ne suis pas celui que vous croyez"
(GDS - D.Renard) Ce gars a le même regard que Bea Diallo. Illuminé par un subtil mélange de douceur et de détermination. Wilfried Dalmat attend beaucoup de son transfert au Standard. L'inverse est vrai aussi. Le Français est davantage qu'un bon joueur. Ses gestes respirent la classe. Au potentiel physique qui lui permet de mettre le feu au flanc droit, Dalmat ajoute cette maîtrise technique qu'enseignent les grandes écoles françaises. Geste juste. Facilité d'action. Fluidité dans le mouvement. Voilà comment se présente le bon Dalmat. Celui qui parvient à utiliser le gros potentiel qui est le sien. Problème: parfois, un autre Dalmat surgit. Moins saignant. Plus poussif.

“Je suis conscient de véhiculer cette image. Celle d'un gars irrégulier. On assure même que je joue à la carte. C'est faux. Je constate juste que certaines rencontres font davantage monter l'adrénaline que d'autres. Avec Mons, quand vous receviez Bruges, Anderlecht ou le Standard, c'est sûr que chacun était motivé." Il respire, puis ajoute: “L'avantage, c'est que maintenant, au Standard, chaque semaine, il y aura un choc à l'affiche. Tout le monde veut toujours battre le champion!” On appelle même ça la rançon de la gloire. Raison pour laquelle le noyau a été étoffé. Non seulement en quantité, avec jusqu'ici cinq arrivées, mais également en qualité. Ne prenons que l'aile droite offensive. Axel Witsel, Grégory Dufer et Réginal Goreux sont des rivaux potentiels pour Dalmat. Potentiels, car on ne sait encore rien de l'animation que Laszlo Bölöni mettra en place. Ici, on pense plus particulièrement à Axel Witsel, qui a repris les entraînements en étant affûté comme une lame. Witsel peut laisser parler sa maîtrise tant à droite, qu'à gauche, qu'au centre. Quelle option Bölöni choisira-t-il?

“Là, ce n'est pas mon problème.”, répond Wilfried Dalmat. “Je sais qu'une rude concurrence existe. À Mons, elle me manquait. Je pouvais quasiment tout me permettre, le weekend, ma place était assurée. On ne progresse plus, dans de telles conditions." Entre ses débuts, à Nantes, et son arrivée à Liège, il s'est passé beaucoup de choses, dans la vie de Wilfried Dalmat. “A 18 ans, je faisais partie du noyau de Nantes qui a remporté le championnat de France. J'ai sans doute attrapé la grosse tête. J'étais immature et impatient. Une seule chose m'importait:jouer le plus possible. En fin de compte, je me suis planté!”

Même si son parcours ne manque pas d'allure, avec des transferts à Marseille, Lecce ou Santander, Wilfried Dalmat n'a pas atteint l'épanouissement qu'il souhaitait. “Mon arrivée au Standard représente un investissement important pour moi. Une belle occasion de me stabiliser. Par rapport au championnat de France, j'ai un goût d'inachevé en bouche. Oui, je voudrais m'y révéler un jour. Ce sera peut-être possible, grâce au Standard." Dalmat est en tout cas dans les meilleures conditions pour y parvenir.


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Nicaise: "Un changement d'univers"

Benjamin Nicaise, un tempérament bien décidé à s'imposer à Sclessin

Depuis plusieurs mercato s déjà, le nom de Benjamin Nicaise figurait en bonne place sur la liste des dirigeants liégeois. L'été 2008 a servi d'aboutissement à ces tractations. Le médian français demeure relax suite à cette promotion. "La reprise ? Elles se ressemblent toutes."

Dans le cas présent, elle signifie le début d'une nouvelle aventure... en continuité.

"Les premiers mots qui nous ont été adressés tenaient au rappel du titre de champion 2007-2008. Maintenant, on débute la campagne suivan- te et l'on doit se servir de l'acquis précédent afin de continuer dans la mê- me direction."

Pour le nouveau venu, une concurrence plus assidue que dans la cité du Doudou l'attend.

"La concurrence n'est pas une innovation de cet été !"

"Les infrastructures sont d'une autre dimension. Mais cela n'a pas été un facteur déterminant dans mon choix car même s'il n'y avait eu qu'un seul terrain chez les Liégeois, j'aurais signé ! Entre Mons et le Standard, il y a un palier de franchi. Et pas qu'un petit ! C'est un vrai changement d'univers ! Déjà là, me trouver face à cinq journalistes; d'habitude, c'était un maximum ! La concurrence ? Ce n'est pas une nouveauté de cet été, elle existe depuis que je joue au foot. On veut m'opposer à certains, on peut peut-être essayer de m'associer à eux."

En principauté, il va retrouver Laszlo Bölöni, furtivement connu à Nancy. "Le coach est rigoureux et travailleur. À Nancy, je n'ai été intégré dans le groupe pro que trois mois avant son licenciement. Pourtant, privé de recrutement, il avait effectué de l'excellent travail avec les jeunes. Les objectifs ne manquent pas cette saison ! J'ai envie de jouer chaque match, en championnat ou en Ligue des Champions."


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Le travail de Namurois

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Le parcours du combattant rouche
(GDS - Y.Bouchard) Même si Laszlo Bölöni reste le seul maître à bord, depuis hier, Guy Namurois a pris une place particulière dans le c½ur des Standardmen. Et pendant quelques longues journées, le préparateur physique liégeois sollicitera leur précieux organe et même carrément tout leur corps! Au programme ce lundi et mardi, la traditionnelle batterie de tests physiques. En quoi cela consiste-t-il et dans quel but? "Simplement pour avoir une feuille de route individuelle de chaque élément du noyau.", explique Guy Namurois. "Grâce à ces tests, je dresserai leur carte d'identité. Elle permettra au staff technique de proposer à chaque joueur tout au long de la saison un travail à sa mesure lors des entraînements collectifs. Mais aussi, au point de vue individuel, de corriger au fur et à mesure les petits points faibles éventuels."

Les champions doivent donc s'attendre à souffrir ... "Les tests de ce lundi et mardi ne sont pas terribles.", réplique le 'bourreau' des champions. "Après, sur le terrain, d'accord, ce sera plus dur. Un passage obligé, ils le savent bien." Un sacré va-et-vient sur le site du Sart-Tilman en tout cas. "C'est en fait notre chance de pouvoir concentrer les différents tests dans le domaine. Concrètement, nous avons divisé le groupe en quatre entités. Chaque groupe fait une tournante aussi bien au CHU que dans la salle de muscu de l'Académie Louis-Dreyfus pour trois tests bien précis (voir ci-dessous). Peut-être même un quatrième avec une visite complète chez le dentiste. La logistique pour ces deux journées est assez impressionnante. Déjà, nous devons prévoir des services-repas entre 11h30 et 14 heures suivant les groupes et leurs activités. En tout, une équipe d'une dizaine de personnes est sur le pont. Kiné, staff, professeur du CHU, moi et bien entendu,Laszlo Bölöni."

Le nouveau coach roumain a souhaité logiquement s'investir à fond dans cette première étape de la préparation. "Nous avons longuement discuté et échangé nos points de vue en la matière.", conclut Guy Namurois. "Il en connaît un rayon. Il m'a fait part de certains désirs et j'ai adapté mon travail. C'est toujours enrichissant de découvrir comment procèdent d'autres personnes. Notre collaboration est totale."

1. Prise de sang et tests isocinétiques
“L'isocinétisme sert à mesurer l'équilibre musculaire dans les jambes, surtout au niveau des cuisses.", explique Guy Namurois. "C'est le professeur Jean-Louis Croisier qui s'en charge. Chaque joueur en a pour environ 30 minutes au Centre Hospitalier Universitaire, prise de sang comprise."

2. Ce qu'est le test sur tapis roulant
“Le test qui sert à estimer l'endurance des joueurs. Sur un tapis roulant, on les fait courir à des vitesses progressives. Ce test vo2 max dure 45 minutes. Les résultats nous permettront de faire des groupes de même force pour la suite de la saison, histoire de ne pas faire courir un fort avec un faible ou inversement."

3. Les tests spécifiques de musculation
"Des tests en salle de détente, d'explosivité, de souplesse, de mobilité articulaire. Sur différentes machines, on établit également leur carte personnelle. Quel poids sur tel engin,etc ... Ce passage dans la salle de musculation de l'académie dure approximativement deux heures.."


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Wilfried Damalt devra confirmer au Standard

Michel Preud�homme le voulait au Standard lorsqu�il était l�entraîneur du club et ce dernier a tenté d�amener Wilfried Dalmat dans sa nouvelle formation, La Gantoise. Mais le joueur a préféré rejoindre le club champion de Belgique lors de ce mercato estival, le Standard de Liège.

« J�ai entendu qu�il me voulait à La Gantoise mais je voulais tellement jouer au Standard de Liège. J�appartiens maintenant à une équipe qui est championne de Belgique et qui a des ambitions en ligue des champions » a affirmé Wilfried Dalmat dans Het Nieuwsblad.

Il reste maintenant à savoir comment le joueur français sera intégré dans le dispositif liégeois « Ma place de prédilection est celle à droite mais je peux également évoluer sur la gauche ou encore comme soutient des attaquants »


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L'information est confirmée par Pierre François: le Standard a entériné l'arrivée de Mehmet Sarper Kiskaç, un jeune défenseur central turc de 17 ans (il en aura 18 le 9 juillet) qui évoluait à Ankaragücü depuis 2006. International chez les jeunes de son pays, Kiskaç est considéré comme un grand talent. Il a signé pour un an et débarquera à la mi-juillet.

Selon le journal Het Laatste Nieuws, l'argentin Marcelo 'El Chelo' Carrusca est sur les tablettes du Standard. Le médian gauche joue actuellement au Galatasaray.

Cinq joueurs manquaient hier à l'appel, lors de la reprise des entraînements. Mbokani et Onyewu étaient retenus par leur équipe nationale. Toama a demandé à revenir plus tard (!), tandis que Dembéle et Jovanovic brillaient par leur absence “pour raisons personnelles".

Ce lundi est réservé à divers examens. Mardi, tests le matin, entraînement à... 18 h! Mercredi, séance à 10h et cross en forêt à 18 heures. Jeudi, début d'un stage à l'Académie, jusqu'au samedi soir, après le match à Veldwezelt.

Il est arrivé. En vrai, et pour de vrai! Joaquim Rolao Preto sera au poste dès ce lundi. C'est Jean-Christophe Bury, le nouveau team manager du Standard qui l'a accueilli. Très, très sympa, l'adjoint portugais de Laszlo Bölöni. Et s'il découvre la Belgique, il connaît pas mal de gens qui lui ont parlé du Standard. “A Portimao, j'ai joué en compagnie de Lucien D'Onofrio, Luis Norton De Matos ou le regretté Serge Cadorin.”,raconte-il. “Ensuite, j'ai été l'équipier de Roberto Sciascia à l'Académica Coimbra. Enfin, au Sporting de Lisbonne, j'y travaillais au même moment que Mbo Mpenza et André Cruz."

La première d'Iron Man
(GDS - D.Renard) Laszlo Bölöni, clap, première! Devant 400, 500 personnes, le Roumain a dirigé son premier entraînement sous la casaque Rouche. Ceux qui s'attendaient à un petit galop en ont été pour leurs frais. Ce fut une vraie séance. Avec des tours de terrain qui se succédaient. La journée avait commencé par une prise de contact. L'occasion pour Bölöni de “féliciter les champions, qui viennent d'entrer dans l'histoire du club." Le coach a ensuite demandé à Steven Defour, qui sera bien entendu son capitaine, de lui aussi y aller d'un petit discours. “Nous allons apprendre à nous
connaître.”, disait Bölöni. “Nous nous ouvrirons l'un par rapport à l'autre. Mais je sens que ce jeune groupe est avide de travail. Ça tombe bien."

Il n'y a qu'à le regarder pour comprendre que Laszlo Bölöni n'est pas là pour rigoler... La vieille école des pays de l'Est est inscrite en lui. Discipline, rigidité. D'une certaine manière, il s'en défend: “J'aime la liberté. Bien sûr. Par contre, il ne faut jamais qu'elle devienne l'anarchie. Dans mon discours, le mot “nous” passera toujours avant le “moi”. Telle est mon approche." Le “Standard Champion 2008” est, et restera, qu'on le veuille ou non, celui de Michel Preud'homme. Le groupe s'est élevé en vivant d'une certaine manière. Il va désormais devoir apprendre une autre approche. Le grand frère, aux allures de gourou fait place à “Ironman ”. Après une campagne euphorique, une main de fer, dans un gant... d'acier constitue peutêtre le moyen le plus sûr de maintenir la pression. “Avec moi, il n'y a pas de compromis. Jamais!”, poursuit l'ancien international du Steaua Bucarest. “Le football, c'est ma vie, ma passion. Je n'accepte pas que l'on rigole avec ça. L'équipe nationale française a consenti six ou sept compromis à l'Euro. Voyez le résultat. Je suis ouvert au dialogue, mais une fois que l'entraînement, ou que le match commence, la compromission n'a plus sa place dans ma réflexion."

Il existe sans doute déjà une illustration concrète au discours tenu par celui qui fut un meneur de jeu fin et raffiné. Nous voulons parler de la venue de Joaquim Preto. Ce qui a pu se dire ou s'écrire à ce sujet a (déjà) irrité Laszlo Bölöni. “A mes yeux, il est tout à fait normal qu'un entraîneur vienne sur le terrain avec deux adjoints. C'est ma manière d'envisager les choses. J'estime cette double présence peut-être plus importante que le scouting. Il n'y avait pas matière à débat."

Ce qui suscite par contre pas mal de remous, c'est la problématique posée par les Jeux
Olympiques. Au moins deux joueurs du Standard sont concernés. À savoir Marouane Fellaini et Axel Witsel. “Des garçons importants pour l'équipe.”, constate Laszlo Bölöni. “Maintenant, ayant été moi-même sélectionneur, de la Roumanie, je parviens à me mettre à la place de tout le monde. D'un côté, le Standard souhaite conserver ses titulaires. De l'autre, représenter son pays au plus haut échelon est valorisant. Le Standard a fait le nécessaire, afin de parvenir à la meilleure solution. Je pense toutefois que la solution définitive doit venir de la FIFA. Il est grand temps d'uniformiser les calendriers de manière à ne pas mettre différents intérêts en porte à faux. C'est le prix à payer à la mondialisation du football."

Chaque entraîneur a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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voulait à La Gantoise mais je voulais tellement jouer au Standard de Liège. J�appartiens maintenant à une équipe qui est championne de Belgique et qui a des ambitions en ligue des champions » a affirmé Wilfried Dalmat dans Het Nieuwsblad.

Il reste maintenant à savoir comment le joueur français sera intégré dans le dispositif liégeois « Ma place de prédilection est celle à droite mais je peux également évoluer sur la gauche ou encore comme soutient des attaquants »

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L'information est confirmée par Pierre François: le Standard a entériné l'arrivée de Mehmet Sarper Kiskaç, un jeune défenseur central turc de 17 ans (il en aura 18 le 9 juillet) qui évoluait à Ankaragücü depuis 2006. International chez les jeunes de son pays, Kiskaç est considéré comme un grand talent. Il a signé pour un an et débarquera à la mi-juillet.

Selon le journal Het Laatste Nieuws, l'argentin Marcelo 'El Chelo' Carrusca est sur les tablettes du Standard. Le médian gauche joue actuellement au Galatasaray.

Cinq joueurs manquaient hier à l'appel, lors de la reprise des entraînements. Mbokani et Onyewu étaient retenus par leur équipe nationale. Toama a demandé à revenir plus tard (!), tandis que Dembéle et Jovanovic brillaient par leur absence “pour raisons personnelles".

Ce lundi est réservé à divers examens. Mardi, tests le matin, entraînement à... 18 h! Mercredi, séance à 10h et cross en forêt à 18 heures. Jeudi, début d'un stage à l'Académie, jusqu'au samedi soir, après le match à Veldwezelt.

Il est arrivé. En vrai, et pour de vrai! Joaquim Rolao Preto sera au poste dès ce lundi. C'est Jean-Christophe Bury, le nouveau team manager du Standard qui l'a accueilli. Très, très sympa, l'adjoint portugais de Laszlo Bölöni. Et s'il découvre la Belgique, il connaît pas mal de gens qui lui ont parlé du Standard. “A Portimao, j'ai joué en compagnie de Lucien D'Onofrio, Luis Norton De Matos ou le regretté Serge Cadorin.”,raconte-il. “Ensuite, j'ai été l'équipier de Roberto Sciascia à l'Académica Coimbra. Enfin, au Sporting de Lisbonne, j'y travaillais au même moment que Mbo Mpenza et André Cruz."

La première d'Iron Man
(GDS - D.Renard) Laszlo Bölöni, clap, première! Devant 400, 500 personnes, le Roumain a dirigé son premier entraînement sous la casaque Rouche. Ceux qui s'attendaient à un petit galop en ont été pour leurs frais. Ce fut une vraie séance. Avec des tours de terrain qui se succédaient. La journée avait commencé par une prise de contact. L'occasion pour Bölöni de “féliciter les champions, qui viennent d'entrer dans l'histoire du club." Le coach a ensuite demandé à Steven Defour, qui sera bien entendu son capitaine, de lui aussi y aller d'un petit discours. “Nous allons apprendre à nous
connaître.”, disait Bölöni. “Nous nous ouvrirons l'un par rapport à l'autre. Mais je sens que ce jeune groupe est avide de travail. Ça tombe bien."

Il n'y a qu'à le regarder pour comprendre que Laszlo Bölöni n'est pas là pour rigoler... La vieille école des pays de l'Est est inscrite en lui. Discipline, rigidité. D'une certaine manière, il s'en défend: “J'aime la liberté. Bien sûr. Par contre, il ne faut jamais qu'elle devienne l'anarchie. Dans mon discours, le mot “nous” passera toujours avant le “moi”. Telle est mon approche." Le “Standard Champion 2008” est, et restera, qu'on le veuille ou non, celui de Michel Preud'homme. Le groupe s'est élevé en vivant d'une certaine manière. Il va désormais devoir apprendre une autre approche. Le grand frère, aux allures de gourou fait place à “Ironman ”. Après une campagne euphorique, une main de fer, dans un gant... d'acier constitue peutêtre le moyen le plus sûr de maintenir la pression. “Avec moi, il n'y a pas de compromis. Jamais!”, poursuit l'ancien international du Steaua Bucarest. “Le football, c'est ma vie, ma passion. Je n'accepte pas que l'on rigole avec ça. L'équipe nationale française a consenti six ou sept compromis à l'Euro. Voyez le résultat. Je suis ouvert au dialogue, mais une fois que l'entraînement, ou que le match commence, la compromission n'a plus sa place dans ma réflexion."

Il existe sans doute déjà une illustration concrète au discours tenu par celui qui fut un meneur de jeu fin et raffiné. Nous voulons parler de la venue de Joaquim Preto. Ce qui a pu se dire ou s'écrire à ce sujet a (déjà) irrité Laszlo Bölöni. “A mes yeux, il est tout à fait normal qu'un entraîneur vienne sur le terrain avec deux adjoints. C'est ma manière d'envisager les choses. J'estime cette double présence peut-être plus importante que le scouting. Il n'y avait pas matière à débat."

Ce qui suscite par contre pas mal de remous, c'est la problématique posée par les Jeux
Olympiques. Au moins deux joueurs du Standard sont concernés. À savoir Marouane Fellaini et Axel Witsel. “Des garçons importants pour l'équipe.”, constate Laszlo Bölöni. “Maintenant, ayant été moi-même sélectionneur, de la Roumanie, je parviens à me mettre à la place de tout le monde. D'un côté, le Standard souhaite conserver ses titulaires. De l'autre, représenter son pays au plus haut échelon est valorisant. Le Standard a fait le nécessaire, afin de parvenir à la meilleure solution. Je pense toutefois que la solution définitive doit venir de la FIFA. Il est grand temps d'uniformiser les calendriers de manière à ne pas mettre différents intérêts en porte à faux. C'est le prix à payer à la mondialisation du football."

Chaque entraîneur a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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tch à Veldwezelt.

Il est arrivé. En vrai, et pour de vrai! Joaquim Rolao Preto sera au poste dès ce lundi. C'est Jean-Christophe Bury, le nouveau team manager du Standard qui l'a accueilli. Très, très sympa, l'adjoint portugais de Laszlo Bölöni. Et s'il découvre la Belgique, il connaît pas mal de gens qui lui ont parlé du Standard. “A Portimao, j'ai joué en compagnie de Lucien D'Onofrio, Luis Norton De Matos ou le regretté Serge Cadorin.”,raconte-il. “Ensuite, j'ai été l'équipier de Roberto Sciascia à l'Académica Coimbra. Enfin, au Sporting de Lisbonne, j'y travaillais au même moment que Mbo Mpenza et André Cruz."

La première d'Iron Man
(GDS - D.Renard) Laszlo Bölöni, clap, première! Devant 400, 500 personnes, le Roumain a dirigé son premier entraînement sous la casaque Rouche. Ceux qui s'attendaient à un petit galop en ont été pour leurs frais. Ce fut une vraie séance. Avec des tours de terrain qui se succédaient. La journée avait commencé par une prise de contact. L'occasion pour Bölöni de “féliciter les champions, qui viennent d'entrer dans l'histoire du club." Le coach a ensuite demandé à Steven Defour, qui sera bien entendu son capitaine, de lui aussi y aller d'un petit discours. “Nous allons apprendre à nous
connaître.”, disait Bölöni. “Nous nous ouvrirons l'un par rapport à l'autre. Mais je sens que ce jeune groupe est avide de travail. Ça tombe bien."

Il n'y a qu'à le regarder pour comprendre que Laszlo Bölöni n'est pas là pour rigoler... La vieille école des pays de l'Est est inscrite en lui. Discipline, rigidité. D'une certaine manière, il s'en défend: “J'aime la liberté. Bien sûr. Par contre, il ne faut jamais qu'elle devienne l'anarchie. Dans mon discours, le mot “nous” passera toujours avant le “moi”. Telle est mon approche." Le “Standard Champion 2008” est, et restera, qu'on le veuille ou non, celui de Michel Preud'homme. Le groupe s'est élevé en vivant d'une certaine manière. Il va désormais devoir apprendre une autre approche. Le grand frère, aux allures de gourou fait place à “Ironman ”. Après une campagne euphorique, une main de fer, dans un gant... d'acier constitue peutêtre le moyen le plus sûr de maintenir la pression. “Avec moi, il n'y a pas de compromis. Jamais!”, poursuit l'ancien international du Steaua Bucarest. “Le football, c'est ma vie, ma passion. Je n'accepte pas que l'on rigole avec ça. L'équipe nationale française a consenti six ou sept compromis à l'Euro. Voyez le résultat. Je suis ouvert au dialogue, mais une fois que l'entraînement, ou que le match commence, la compromission n'a plus sa place dans ma réflexion."

Il existe sans doute déjà une illustration concrète au discours tenu par celui qui fut un meneur de jeu fin et raffiné. Nous voulons parler de la venue de Joaquim Preto. Ce qui a pu se dire ou s'écrire à ce sujet a (déjà) irrité Laszlo Bölöni. “A mes yeux, il est tout à fait normal qu'un entraîneur vienne sur le terrain avec deux adjoints. C'est ma manière d'envisager les choses. J'estime cette double présence peut-être plus importante que le scouting. Il n'y avait pas matière à débat."

Ce qui suscite par contre pas mal de remous, c'est la problématique posée par les Jeux
Olympiques. Au moins deux joueurs du Standard sont concernés. À savoir Marouane Fellaini et Axel Witsel. “Des garçons importants pour l'équipe.”, constate Laszlo Bölöni. “Maintenant, ayant été moi-même sélectionneur, de la Roumanie, je parviens à me mettre à la place de tout le monde. D'un côté, le Standard souhaite conserver ses titulaires. De l'autre, représenter son pays au plus haut échelon est valorisant. Le Standard a fait le nécessaire, afin de parvenir à la meilleure solution. Je pense toutefois que la solution définitive doit venir de la FIFA. Il est grand temps d'uniformiser les calendriers de manière à ne pas mettre différents intérêts en porte à faux. C'est le prix à payer à la mondialisation du football."

Chaque entraîneur a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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tch à Veldwezelt.

Il est arrivé. En vrai, et pour de vrai! Joaquim Rolao Preto sera au poste dès ce lundi. C'est Jean-Christophe Bury, le nouveau team manager du Standard qui l'a accueilli. Très, très sympa, l'adjoint portugais de Laszlo Bölöni. Et s'il découvre la Belgique, il connaît pas mal de gens qui lui ont parlé du Standard. “A Portimao, j'ai joué en compagnie de Lucien D'Onofrio, Luis Norton De Matos ou le regretté Serge Cadorin.”,raconte-il. “Ensuite, j'ai été l'équipier de Roberto Sciascia à l'Académica Coimbra. Enfin, au Sporting de Lisbonne, j'y travaillais au même moment que Mbo Mpenza et André Cruz."

La première d'Iron Man
(GDS - D.Renard) Laszlo Bölöni, clap, première! Devant 400, 500 personnes, le Roumain a dirigé son premier entraînement sous la casaque Rouche. Ceux qui s'attendaient à un petit galop en ont été pour leurs frais. Ce fut une vraie séance. Avec des tours de terrain qui se succédaient. La journée avait commencé par une prise de contact. L'occasion pour Bölöni de “féliciter les champions, qui viennent d'entrer dans l'histoire du club." Le coach a ensuite demandé à Steven Defour, qui sera bien entendu son capitaine, de lui aussi y aller d'un petit discours. “Nous allons apprendre à nous
connaître.”, disait Bölöni. “Nous nous ouvrirons l'un par rapport à l'autre. Mais je sens que ce jeune groupe est avide de travail. Ça tombe bien."

Il n'y a qu'à le regarder pour comprendre que Laszlo Bölöni n'est pas là pour rigoler... La vieille école des pays de l'Est est inscrite en lui. Discipline, rigidité. D'une certaine manière, il s'en défend: “J'aime la liberté. Bien sûr. Par contre, il ne faut jamais qu'elle devienne l'anarchie. Dans mon discours, le mot “nous” passera toujours avant le “moi”. Telle est mon approche." Le “Standard Champion 2008” est, et restera, qu'on le veuille ou non, celui de Michel Preud'homme. Le groupe s'est élevé en vivant d'une certaine manière. Il va désormais devoir apprendre une autre approche. Le grand frère, aux allures de gourou fait place à “Ironman ”. Après une campagne euphorique, une main de fer, dans un gant... d'acier constitue peutêtre le moyen le plus sûr de maintenir la pression. “Avec moi, il n'y a pas de compromis. Jamais!”, poursuit l'ancien international du Steaua Bucarest. “Le football, c'est ma vie, ma passion. Je n'accepte pas que l'on rigole avec ça. L'équipe nationale française a consenti six ou sept compromis à l'Euro. Voyez le résultat. Je suis ouvert au dialogue, mais une fois que l'entraînement, ou que le match commence, la compromission n'a plus sa place dans ma réflexion."

Il existe sans doute déjà une illustration concrète au discours tenu par celui qui fut un meneur de jeu fin et raffiné. Nous voulons parler de la venue de Joaquim Preto. Ce qui a pu se dire ou s'écrire à ce sujet a (déjà) irrité Laszlo Bölöni. “A mes yeux, il est tout à fait normal qu'un entraîneur vienne sur le terrain avec deux adjoints. C'est ma manière d'envisager les choses. J'estime cette double présence peut-être plus importante que le scouting. Il n'y avait pas matière à débat."

Ce qui suscite par contre pas mal de remous, c'est la problématique posée par les Jeux
Olympiques. Au moins deux joueurs du Standard sont concernés. À savoir Marouane Fellaini et Axel Witsel. “Des garçons importants pour l'équipe.”, constate Laszlo Bölöni. “Maintenant, ayant été moi-même sélectionneur, de la Roumanie, je parviens à me mettre à la place de tout le monde. D'un côté, le Standard souhaite conserver ses titulaires. De l'autre, représenter son pays au plus haut échelon est valorisant. Le Standard a fait le nécessaire, afin de parvenir à la meilleure solution. Je pense toutefois que la solution définitive doit venir de la FIFA. Il est grand temps d'uniformiser les calendriers de manière à ne pas mettre différents intérêts en porte à faux. C'est le prix à payer à la mondialisation du football."

Chaque entraîneur a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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st la problématique posée par les Jeux
Olympiques. Au moins deux joueurs du Standard sont concernés. À savoir Marouane Fellaini et Axel Witsel. “Des garçons importants pour l'équipe.”, constate Laszlo Bölöni. “Maintenant, ayant été moi-même sélectionneur, de la Roumanie, je parviens à me mettre à la place de tout le monde. D'un côté, le Standard souhaite conserver ses titulaires. De l'autre, représenter son pays au plus haut échelon est valorisant. Le Standard a fait le nécessaire, afin de parvenir à la meilleure solution. Je pense toutefois que la solution définitive doit venir de la FIFA. Il est grand temps d'uniformiser les calendriers de manière à ne pas mettre différents intérêts en porte à faux. C'est le prix à payer à la mondialisation du football."

Chaque entraîneur a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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tch à Veldwezelt.

Il est arrivé. En vrai, et pour de vrai! Joaquim Rolao Preto sera au poste dès ce lundi. C'est Jean-Christophe Bury, le nouveau team manager du Standard qui l'a accueilli. Très, très sympa, l'adjoint portugais de Laszlo Bölöni. Et s'il découvre la Belgique, il connaît pas mal de gens qui lui ont parlé du Standard. “A Portimao, j'ai joué en compagnie de Lucien D'Onofrio, Luis Norton De Matos ou le regretté Serge Cadorin.”,raconte-il. “Ensuite, j'ai été l'équipier de Roberto Sciascia à l'Académica Coimbra. Enfin, au Sporting de Lisbonne, j'y travaillais au même moment que Mbo Mpenza et André Cruz."

La première d'Iron Man
(GDS - D.Renard) Laszlo Bölöni, clap, première! Devant 400, 500 personnes, le Roumain a dirigé son premier entraînement sous la casaque Rouche. Ceux qui s'attendaient à un petit galop en ont été pour leurs frais. Ce fut une vraie séance. Avec des tours de terrain qui se succédaient. La journée avait commencé par une prise de contact. L'occasion pour Bölöni de “féliciter les champions, qui viennent d'entrer dans l'histoire du club." Le coach a ensuite demandé à Steven Defour, qui sera bien entendu son capitaine, de lui aussi y aller d'un petit discours. “Nous allons apprendre à nous
connaître.”, disait Bölöni. “Nous nous ouvrirons l'un par rapport à l'autre. Mais je sens que ce jeune groupe est avide de travail. Ça tombe bien."

Il n'y a qu'à le regarder pour comprendre que Laszlo Bölöni n'est pas là pour rigoler... La vieille école des pays de l'Est est inscrite en lui. Discipline, rigidité. D'une certaine manière, il s'en défend: “J'aime la liberté. Bien sûr. Par contre, il ne faut jamais qu'elle devienne l'anarchie. Dans mon discours, le mot “nous” passera toujours avant le “moi”. Telle est mon approche." Le “Standard Champion 2008” est, et restera, qu'on le veuille ou non, celui de Michel Preud'homme. Le groupe s'est élevé en vivant d'une certaine manière. Il va désormais devoir apprendre une autre approche. Le grand frère, aux allures de gourou fait place à “Ironman ”. Après une campagne euphorique, une main de fer, dans un gant... d'acier constitue peutêtre le moyen le plus sûr de maintenir la pression. “Avec moi, il n'y a pas de compromis. Jamais!”, poursuit l'ancien international du Steaua Bucarest. “Le football, c'est ma vie, ma passion. Je n'accepte pas que l'on rigole avec ça. L'équipe nationale française a consenti six ou sept compromis à l'Euro. Voyez le résultat. Je suis ouvert au dialogue, mais une fois que l'entraînement, ou que le match commence, la compromission n'a plus sa place dans ma réflexion."

Il existe sans doute déjà une illustration concrète au discours tenu par celui qui fut un meneur de jeu fin et raffiné. Nous voulons parler de la venue de Joaquim Preto. Ce qui a pu se dire ou s'écrire à ce sujet a (déjà) irrité Laszlo Bölöni. “A mes yeux, il est tout à fait normal qu'un entraîneur vienne sur le terrain avec deux adjoints. C'est ma manière d'envisager les choses. J'estime cette double présence peut-être plus importante que le scouting. Il n'y avait pas matière à débat."

Ce qui suscite par contre pas mal de remous, c'est la problématique posée par les Jeux
Olympiques. Au moins deux joueurs du Standard sont concernés. À savoir Marouane Fellaini et Axel Witsel. “Des garçons importants pour l'équipe.”, constate Laszlo Bölöni. “Maintenant, ayant été moi-même sélectionneur, de la Roumanie, je parviens à me mettre à la place de tout le monde. D'un côté, le Standard souhaite conserver ses titulaires. De l'autre, représenter son pays au plus haut échelon est valorisant. Le Standard a fait le nécessaire, afin de parvenir à la meilleure solution. Je pense toutefois que la solution définitive doit venir de la FIFA. Il est grand temps d'uniformiser les calendriers de manière à ne pas mettre différents intérêts en porte à faux. C'est le prix à payer à la mondialisation du football."

Chaque entraîneur a ses méthodes de travail et sa manière d'aborder les choses. Par rapport à Michel Preud'homme, voici ce qui va changer avec Laszlo Bölöni: Le huis clos deviendra occasionnel. “Je veux que les gens puissent voir de quelle manière j'oeuvre.”, dit-il. “Nous fermerons les portes uniquement lorsque la nécessité s'en fera sentir. Au Sporting, il y avait parfois 2.000 supporters pour suivre les séances. Ca ne me gène pas." Ce n'est pas, non plus, un adepte des mises au vert. “La discipline doit venir de chacun." Pas question de donner son numéro de GSM. Celui ou
ceux qui voudront le joindre devront passer par le team manager. “ Par contre, je suis ouvert à toutes rencontres durant la semaine."


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#Posté le dimanche 29 juin 2008 12:17

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